Brèves

Ici, des brèves sur les ouvrages des Editions Nouvelles du Champ lacanien.

En quelques lignes, un point de vue sur un livre...

 

 

 

Une brève de Marc Strauss, à propos d'Un silence pour appui

Si nous en croyons Lacan et faisons du discours analytique le récent quatrième où s’achève sans se fermer leur ronde, le dernier Opus de Michel Bousseyroux paru aux Éditions Nouvelles du Champ lacanien, Un silence pour appuiAnacrouse de l’analyse, s’inscrit dans une grande Tradition, celle de l’Orthodoxie, où le magistère n’est pas un complément de la Parole mais le souffle qui la rend vivante à travers les âges (lire la suite...)

 

Une brève de Dominique Touchon Fingermann, à propos d' Un silence pour appui

Psychanalyse, temps zéro

Michel Bousseyroux n’est pas un bavard, c’est plutôt un taiseux. Pourtant, quand il l’ouvre il ne mâche pas ses mots, afin que leur réson ne nous échappe pas, ou tout au moins, pour que nous n’en sortions pas indemnes. Aussi quand nous ouvrons ce nouveau livre, nous tendons l’oreille : d’où parle- t-il, maintenant ? Où nous conduit-il cette fois encore ? Lire la suite...

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Une brève de Laurence Mazza-Poutet, à propos de La Psychanalyse, pas la pensée unique

Réflexions à propos de la réédition de La Psychanalyse, pas la pensée unique

 

L’École de Psychanalyse des Forums du Champ lacanien est née de la crise qui a secoué l’École de la Cause Freudienne en 1998, à partir de la question toujours épineuse de la fin de la cure analytique et de la passe. Certains mettaient en question la tentative de faire primer les enjeux de politique institutionnelle sur la psychanalyse (lire la suite...)

 

Une brève de Zehra Eryörük, à propos de La Psychanalyse, pas la pensée unique

Une option éthique

Psychanalyste ou pas, pas-tout sujet ne s’oppose à la pensée unique. Beaucoup, voire des masses entières s’en accommodent parfaitement et les plus malins tirent même quelques épingles du jeu. C’est connu, quelle que soit l’histoire, écrit avec un petit ou un grand H. Pour celles et ceux qui refusent de s’y plier, une ligne rouge fait limite à l’acceptable, qu’on appelle cela symptôme, réel ou éthique du sujet (lire la suite...

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Une brève de Patricia Robert sur Dessins et maux d'enfant
Lire Dessins et maux d'enfant c'est lire des fragments qui se donnent, non seulement à lire, mais aussi à entendre. Des fragments tissés par le fil du trait, qu'il soit trait d'union, trait de crayon ou de pinceau, trait du cas ou trait d'esprit, l'essentiel est sa trace avant tout récit (lire la suite...)

 

Une brève d'Anne Migliorini sur Dessins et maux d'enfant

Dans Dessins et maux d’enfant, Marie-José Latour revient sur ce que Perrault nous a légué, cette expression immuable des contes pour enfants. « Il était une fois » délimite ce temps d’avant le temps du récit, avant que ne se déploient tous les dits du narrateur (lire la suite...)

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Brève sur Deuil à rebours. Du deuil à la littérature hongroise en passant par la psychanalyse, d’Yvette Goldberger, par Marie-José Latour

 

Après la lecture de ce très beau livre il m’est venu l’image d’un de ces pains tressés hongrois, que l’on appelle, me semble-t-il, kalács. C’est dire à quel point Yvette Goldberger sait faire passer le goût de cette langue, parlée au cœur-même de l’Europe mais qui ne doit rien aux langues indo-européennes, via les formidables auteurs dont elle est le généreux passeur (lire la suite...)

 

 

Une brève d'Adèle Jacquet-Lagrèze, à propos de Deuil à rebours d'Yvette Goldberger

À rebours de ma lecture, je partagerai ce point de suture opéré par Guillaume Métayer dans sa postface observant « ce mouvement de conversion vers la littérature hongroise, comme la survenue d’un amour salvateur [2] », à l’œuvre dans ce livre hors norme, témoignage d’une analysante, d'une lectrice et d’une fille de l'Histoire. Un livre qui m'a émue et dont je voulais partager trois fils qui touchent à l’universel de notre expérience (lire la suite...)

 

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Une brève d'Adèle Jacquet-Lagrèze sur Une expérience du contraire. L'analyse de Philippe Madet

Le titre à lui seul reflète cette position de l’analyste que Philippe Madet incarne de manière vivante dans son livre : … Une expérience du contraire… de quoi ? ... lire la suite...

 

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Une brève de Josée Mattei sur En toi plus que toi, de Nicole Bousseyroux

D’emblée Nicole Bousseyroux nous embarque dans la mer des mots, ces mots tempétueux, ou calmes, accélérés ou ralentis, bégayant parfois, faisant même des embardées plus souvent qu’à leur tour : les mots s’échappent et nous échappent, vivent leur vie de mots, passent leur chemin sans qu’on n’y puisse rien sauf à les faire nôtres, tempo oblige. Que faire ? (lire la suite...)
  

Une brève de Jean-Claude Coste 

L'ouvrage de Nicole Bousseyroux En toi plus que toi[1] est plus hanté que centré par l'objet a. C'est qu'il est l'effet d'une pratique, celle du transfert psychanalytique, soit une demande de sens à ce qui ne va pas (lire la suite...)

 

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Brève sur Psychanalyser le pas-comme-tout-le-monde de Michel Bousseyroux, par Marie-José Latour 

Quel beau titre que celui du dernier ouvrage de Michel Bousseyroux !

Ce pas-comme-tout-le monde, que tout le monde est à même de lire et de saisir, ce syntagme si simple, fait le fil d’un ouvrage qui donne tout son empan à l’enjeu de ce qu’est une psychanalyse et à l’évaluation éthique du diagnostic que Lacan a promu dans son « Apport de la psychanalyse à la sémiologie psychiatrique », et qui lui a permis de ne jamais renoncer à dialoguer avec le fou et en apprendre quelque chose (lire la suite...)

 

 

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Une brève de Nicolas Bendrihen sur La Passion de l'indifférence de Martine Menès

C’est un haïku qui ouvre le court et incisif essai de Martine Menès sur La Passion de l’indifférence. 17 syllabes qui portent le dire de ce livre, le cinquième de la collection Opuscule$ : une étude clinique sur l’indifférence, où se déploie la question du lien d’un sujet avec les autres et le monde (lire la suite...)

 

Une brève d'Anne-Marie Combres sur La Passion de l'indifférence de Martine Menès

Qu’est-ce que l’indifférence ? Passion ou position éthique ? Si vous croyez le savoir mais avez quelques doutes, lisez cet opuscule de Martine Menès ! Elle y ouvre des pistes de recherche en regroupant à la fois bien des références de Freud et de Lacan, mais aussi des exemples cliniques et des références littéraires pour cerner ce dont il s’agit dans cette position subjective à la fois répandue et méconnue (lire la suite...)

 

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Une brève de Michel Bousseyroux : Trois hypothèses nodales de Bruno Geneste dans Samuel Beckett, l’art du nœud-dire

 

L’expérience d’écriture beckettienne est une expérience du nœud-dire, du dire qui fait nœud. Bruno Geneste se propose de distinguer le singulier de celle-ci de celle de Joyce (... lire la suite...)

 

Une brève d'Adèle Jacquet-Lagrèze

« (…) Le temps passe. D’abord muet. J’allume (…) C’est bon, j’éteins (…) Je recommence. (…) Au présent comme si nous y étions. (…) Le temps passe. Cette fois parlant. J'allume. (…)

Geneste noue dans cet ouvrage des articles sur l’écriture de Beckett qui résonne avec celle de Lacan, y déroulant par touche la bobine du Fort-Da de l’efficace de sa clinique. (Lire la suite...)

 

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Une brève à propos d'Une urgence pas comme les autres, de Colette Soler, par Pierre Perez

L’urgence qu’interroge ce livre est celle qui se rencontre dans une psychanalyse. Elle diffère donc de l’urgence de l’époque, qui impose à chacun son lot d’urgences. 

Si l’époque impose à chacun ses urgences, celles-ci tiennent moins de l’urgence en tant que telle que du sentiment d’urgence. Pour autant, ce sentiment d’urgence généralisé dans et par l’époque, ne dit rien de l’urgence telle qu’elle se rencontre dans une psychanalyse (... lire la suite...

 

Une brève à propos d'Une urgence pas comme les autres, de Colette Soler, par Diego Mautino 

Ce livre reprend le cours donné au Collège de Clinique Psychanalytique du Champ lacanien de Paris, l’année 2020/21, et même s’il est resté marqué par la période du confinement, propose un programme qui diffère des autres urgences de l’époque (... lire la suite...)

 

 

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Envers de la pastorale

Une brève à propos du livre : Relire Le petit Hans de Darian Leader, par Frédéric Pellion 

 

On soupçonnait déjà l‘histoire de Herbert Graf d’avoir peut-être été moins primesautière que ce que la « pastorale » analytique, généralement, veut en retenir. Qu’il ne s’agissait peut-être pas seulement, dans la rencontre de Hans avec la « réalité sexuelle », du bonheur phallique (lire la suite...)

 

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"Récit, Hérésie, RSI" : une brève à propos du livre L'inconscient théâtral d'Antonio Quinet, par Jean-Pierre Drapier

 

Traversant l’Atlantique et certaines lignes de démarcation, notre collègue Antonio Quinet nous amène non pas la peste mais un livre et un concept : « L’inconscient théâtral. Psychanalyse et théâtre : homologies ». Fort de sa double expérience d’analyste et d’homme pour le théâtre... (lire la suite)

 

Une brève à propos du livre : L'inconscient théâtral. Psychanalyse et théâtre : homologies d'Antonio Quinet, par Sylvie Chazel 

 Antonio Quinet, psychanalyste à Rio de Janeiro, est aussi un dramaturge, un metteur en scène et un comédien. 

Cette double expérience, rare dans notre champ, nous offre dans son dernier ouvrage L’Inconscient théâtral. Psychanalyse et théâtre : homologies, la possibilité d’approcher à la lumière des concepts analytiques et à l’appui de son travail artistique, ce qui se passe au théâtre, ce qui peut passer (lire la suite)

 

 

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Brève à propos du livre : Beckett avec Lacan
de Dominique Marin, par Anne Meunier

 

L’insaisissable présent ne peut s’attraper par la parole, parole du discours intérieur dont témoigne l’écriture de Beckett. Lacan, à la même époque, n’a cessé, par l’impossible à dire le présent, de rendre raison de l’inconscient, de faire valoir les effets de la parole, cancer dont l’être est affecté. Lire la suite...

 

Brève à propos du livre : Beckett avec Lacan
de Dominique Marin, par Sophie Pinot

 

À la rencontre de qui ou de quoi allons-nous quand nous nous mettons à lire un livre ? À la rencontre de l’auteur ? De son propos ? De celui dont il parle ? Dans le cas présent, à la rencontre de Samuel Beckett et de ses personnages ? De Jacques Lacan ? De Dominique Marin, passeur du dire de ces deux grands noms ? Lire la suite...

 

Brève à propos du livre : Beckett avec Lacan
de Dominique Marin, par Michel Formento

En sept chapitres, l’auteur explore les rapprochements entre les savoir-faire de Lacan et de Samuel Beckett, « deux créateurs possédés non par le conceptuel mais par la pratique et par la production d’effets de langage » ceci alors que les références à ce dernier sont très peu fréquentes chez le psychanalyste (...lire la suite...)

 

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Brève à propos du livre : Le transfert, de l'amour au sexe
de Colette Soler, par Anastasia Tzavidopoulou

 

Il sagit dun retour à ce concept fondamental de la psychanalyse, le transfert. Un concept qui est pour Lacan, comme Colette Soler nous le rappelle, « déterminé par la fonction quil a dans une praxis » car « ce concept dirige la façon de traiter les patients. Inversement la façon de les traiter commande le concept ».  Lire la suite...

 

 

 

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Une brève sur "Trois essais sur la sexualité mystique", par Philippe Madet

    Alors que les manifestations des mystiques pourraient prouver pour certains l’existence et la toute-puissance de Dieu, Michel Bousseyroux dès son introduction nous conduit sur une autre piste, inattendue quant à la jouissance de la (le) mystique, « puits sans fond […] où l’aspire le signifiant de l’incomplétude de Dieu ». Lire la suite...

     

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    Une brève sur la "Lecture de la Préface à l'éveil du printemps", de Colette Soler, par Cathy Barnier

    C’est opportunément que, pour inaugurer leur nouvelle collection « Opuscule$ », les Éditions Nouvelles du Champ lacanien publient l’ouvrage de Colette Soler : Lecture - Préface de Jacques Lacan à L’éveil du printemps de Wedekind. (lire la suite...)

     

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    Une brève sur La différence du sexe, par Claire Parada

    « Il y a toujours une nécessité éthique à reposer la question de la différence des sexes, non seulement pour la psychanalyse, mais aussi pour l’actualité du lien social ». C’est le pari que David Bernard propose de tenir dans ce livre (lire la suite...)

       

      Une brève par Claire Montgobert

      Aphorisme : proposition concise formulant l’essentiel d’une théorie ou d’une doctrine : à partir de ces « petites phrases » de Lacan, David Bernard nous invite à relire comment et avec quelle logique Lacan a renouvelé la question de la différence entre les sexes pour en proposer une autre définition (lire la suite...)

       

       

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      Brève sur Lire ce qui ne cesse pas de ne pas s'écrire de Marie-José Latour, par Kristèle Nonnet-Pavois

      Re – deux lettres pour un préfixe exprimant un mouvement.


      Reprise, retour, revenant, relecture, répétition.
      Série de quelques signifiants extraits de ce livre qui nous ouvre à la rencontre d’un écrivain et d’une psychanalyste. A se côtoyer et à questionner ces signifiants, Philippe Forest et Marie-José Latour, c’est à une ouverture au réel qu’ils nous invitent, pris que nous sommes dans le « labyrinthe de la nuit du langage »(1). De ce labyrinthe où il s’agit à chacun, corps parlant, de tâtonner, de s’y déplacer avec un tracé incertain... Lire la suite

       

      Tenir à l'impossible... une brève sur Lire ce qui ne cesse pas de ne pas s'écrire de Marie-José Latour, par Anne-Marie Combres

       Tenir à l’impossible…


      … ferait point d’appui aux démarches singulières de Marie-José Latour et Philippe Forest. Qu’est-ce qui peut s’écrire d’une rencontre ? Cet ouvrage nous fait témoin de celle qui réunit régulièrement depuis plusieurs années ces deux auteurs, l’un écrivain et l’autre psychanalyste, sous les angles de la littérature et de la psychanalyse. Lire la suite...

       

       

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      Une brève à propos de  La "névrose infantile" un trauma bénéfique, de Martine Menès, par Anne Castelbou Branaa

      Ce livre remanié prolonge les élaborations du précédent en mettant l’accent sur le rôle prépondérant joué par la fonction paternelle dans la construction de la névrose infantile, à la lumière des dernières avancées conceptuelles de Lacan réinterprétant le mythe freudien du complexe d’Œdipe. Il est un outil précieux pour s’orienter dans la clinique de l’enfant (lire la suite)

       

       

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      À propos des Noeuds de la parole, une brève par Philippe Madet 

      Alors que la parole est bien souvent inaudible, noyée dans le flot des images qui nous envahissent ou absorbée dans les bruits qui nous entourent, la force de ce livre est de la remettre au centre des sujets que nous sommes — parlêtres, a si justement dit Lacan —, et des fils ou nœuds humains qui nous relient.
      Dès lors, son champ est vaste lire la suite

       

      À propos des Noeuds de la parole, de Marc Strauss, une brève par Bernard Lapinalie

      Ce livre est la retranscription du séminaire proféré durant une année par Marc Strauss avec les contributions de Vanessa Brassier et d’Eve Cornet sur « la violence de la parole ». Ironie, notons le, d’une expérience de parole de l’auteur sur « la violence de la parole » : comment parler du dehors de ce dans quoi on est pris ? L’auteur n’ignore pas ce « rêve impossible de l’un », et ça donne le ton à l’ensemble lire la suite

       

       

       

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      Faire le choix d’écrire dans ce qui se passe des formes, par Cédric Bécavin

      De cette lecture de l’ouvrage de Dominique Touchon Fingermann, « La (dé)formation du psychanalyste. Les conditions de l’acte », je fais le choix d’écrire, là, attrapé par du texte. « Quand on écrit, on peut toucher au réel, mais non pas au vrai (1) » (...) lire la suite

       

      Brève à propos du livre : « La (dé)formation du psychanalyste » de Dominique Touchon-Fingermann, par Paula Damas

      S’il s’agit pour Dominique Touchon-Fingermann de déplier les axes qui conditionnent et attestent de l’acte analytique, la visée politique de ce travail en est également le ressort, à ce moment de l’histoire où « les machinations de la science et du marché conspirent pour ne pas nous permettre de psychanalyser comme par le passé » lire la suite

       

      Brève à propos du livre : « La (dé)formation du psychanalyste » de Dominique Touchon Fingermann, par Geneviève Faleni 

      Instant de trouble devant le titre et sa typographie en couverture du livre. Pourquoi ce (dé) qui infléchit la formation en altération ? Les conditions de l’acte sont posées : l’analyste n’opère pas à partir du sens commun, mais depuis un point hors du commun qui cause sa distinction, déformation nécessaire à sa position Lire la suite...

       

       

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      À propos de Retour sur la "fonction de la parole" de Colette Soler, une brève de Nicole Bousseyroux

      Le retour dont il est question dans ce livre ne manque pas de rebondissements, pas sans conséquences pour la clinique et la pratique de la psychanalyse. De la première thèse de Lacan sur la « fonction de la parole » comme pacte fondateur du sujet à sa dernière thèse sur la « fonction du parler », il y a tout un parcours de pensée chez Lacan, dont ce livre nous fait saisir l’écart, les virages, les contradictions et les surprises (...) lire la suite

       

       

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      À propos de "Tu es cela" de Michel Bousseyroux, une brève de Dominique Marin

      L’élaboration tissée au long de ce livre ambitionne à la fois de 1) rendre opérante la logique des noeuds chère à Lacan et de 2) tirer enseignement du savoir-faire de l’artiste pour 3) repenser l’interprétation analytique et 4) éclairer la fin de cure (...) lire la suite

       

      Brève sur "Tu es cela" de Michel Bousseyroux, par Jacqueline Patouet

       « Tu es cela » - Sinthome, poème et identité, n’est ni un commandement ni une suite, mais la continuité de l’enseignement de Michel Bousseyroux. Comme dans un travail d’archéologue, où nous essayons de le suivre, il s’emploie à creuser et ouvrir des passages sur « la piste borroméenne » élargie par Lacan pour repenser la psychanalyse (...) lire la suite

       

      "Lire les nœuds", une brève à propos de "Tu es cela" de Michel Bousseyroux, par Bruno Geneste


      Michel Bousseyroux signe ici son cinquième livre sur ce qui fait le cœur des derniers séminaires de Lacan : la question borroméenne. Pour qui s'y aventure, passées les réticences de principe à aborder cette option de la pensée lacanienne (et qui sont toutes à reverser à la résistance qu'y oppose l'imaginaire de chacun), le lecteur y trouve du neuf, et plus encore : le gay-sçavoir ici en fonction produit une trajectoire comparable à celle du poème célanien... lire la suite

       

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      Lacan à l'épreuve d'un guide topologique, une brève sur Le guide topologique de "L'étourdit", par Frédéric Pellion

      Une des légitimités de la référence à la topologie en psychanalyse est qu’avec la première, comme avec la seconde, les choses se montrent pour ne pas être comme elles apparaissent d’abord. Freud, déjà : « Tout ce qui peut devenir objet de notre perception interne est virtuel. » (...) lire la suite